lundi 14 mars 2011

III - Ai-je mérité ces attaques ?


Elles sont anonymes Pourquoi ? 

A la lecture de la 1ère partie, certains se diront peut-être qu’un acharnement aussi unanime et persistant contre ma personne ne peut pas être le fait du hasard. Eh bien, je suis d’accord… Et que je l'ai probablement bien cherché par mon comportement. Là non, je ne suis plus d’accord. Pas besoin pour me défendre de démontrer ma probité, un seul argument suffit : les attaques sont anonymes !  Voilà pourquoi il me faut tant de temps avant de découvrir que mes mésaventures ne sont pas le fait du hasard. Si j'étais un salaud, un parano, un mytho, un schizo, un affreux jojo ou autre épithète se terminant par "o", ça se saurait. Dans les articles de presse ou les pages web qui me sont consacrés, on se refilerait l'info. Or, mes adversaires me saquent en catimini. Ont-ils peur de moi ? Peut-être : on dirait qu'ils craignent la lumière... Celle de la publicité que je peux leur faire auprès des médias. Car ils sont bien placés pour savoir, universitaires en tête, que j'ai "bonne presse". Il s’agit d’une guerre menée par des gens qui ne peuvent pas s'en vanter. Et s’ils ne peuvent s’en vanter, c’est qu’ils ont conscience d’être en tort et conscience que l'opinion publique leur donnera tort. Voilà ce à quoi un raisonnement bien fichu (mon bizness…) permet d’aboutir... 

Le Ministère de la Justice, qui connaît mes soucis, ne trouve rien à me reprocher 

Quand les hautes instances de l'administration judiciaire française : Conseil Supérieur de la Magistrature et Ministère de la Justice, répondent à mes accusations envers les magistrats de l'Ouest, c'est par des courriers officiels dans lesquels je suis traité avec respect. Après avoir remué ciel et terre auprès de Sarkozy, de ses proches, du Conseil Supérieur de la Magistrature et du Ministère de la Justice, après avoir plusieurs fois informé les médias de mes malheurs, accusant ouvertement de corruption les juges de Nantes et de Rennes, après avoir donné le maximum de publicité à ma plainte en forfaiture contre le juge Castagné, j'ai sûrement indisposé les pouvoirs publics sinon la magistraturePourtant, je reçois du Ministère de la Justice cette réponse qui m'innocente : "Sans méconnaître les difficultés que vous évoquez, nous ne pouvons rien pour vous "... Alors qu'il aurait pu m'écrire : "Vous avez cherché ces difficultés, nous ne ferons rien pour vous ".  

Aucune remarque négative sur Internet, où le discours est libre... 

Encore des doutes ? Eh bien, parcourez Internet sur mon nom. Vous y trouverez nombre de pages. Là-dedans, pas une qui me mette en cause. Si j’avais commis un quelconque forfait, ce groupe qui détient un pouvoir de communiquer infiniment supérieur au mien n’hésiterait pas à en faire la publicité sur le web.

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